788 research outputs found

    Perceptions of Everyday Interpersonal Discrimination among Young Men of Turkish Background in Cologne

    Get PDF
    This small-scale, qualitative study examines how five young male second-generation Turkish immigrants perceive racial discrimination by ethnic Germans and to what extent this perception influences their collective identities. The typology of interactional patterns the interviewees describe as racial discrimination has four elements: a perception of distrust, a distancing gaze, denial of belonging and rule enforcement by members of the German majority. The interviewees, particularly those who are highly educated and socially mobile, identify with a common Ausländer (foreigner) identity in response to experiences of discrimination. This identity is regarded a shared identity marker by immigrants of different backgrounds. It appears as a positive and affirmative identity of difference, which creates a unique type of social capital

    Electrical Interfaces for Organic Nanodevices

    Get PDF

    A New Probabilistic Explanation of the Modus Ponens–Modus Tollens Asymmetry

    Get PDF
    A consistent finding in research on conditional reasoning is that individuals are more likely to endorse the valid modus ponens (MP) inference than the equally valid modus tollens (MT) inference. This pattern holds for both abstract task and probabilistic task. The existing explanation for this phenomenon within a Bayesian framework (e.g., Oaksford & Chater, 2008) accounts for this asymmetry by assuming separate probability distributions for both MP and MT. We propose a novel explanation within a computational-level Bayesian account of reasoning according to which “argumentation is learning”. We show that the asymmetry must appear for certain prior probability distributions, under the assumption that the conditional inference provides the agent with new information that is integrated into the existing knowledge by minimizing the Kullback-Leibler divergence between the posterior and prior probability distribution. We also show under which conditions we would expect the opposite pattern, an MT-MP asymmetr

    Non-native populations of an invasive tree outperform their native conspecifics

    Get PDF
    Introduced plants often face new environmental conditions in their non-native ranges. To become invasive, they need to overcome several biotic and abiotic filters that may trigger adaptive changes in life-history traits, like postgermination processes. Such early life cycle traits may play a crucial role in the colonization and establishment success of invasive plants. As a previous study revealed that seeds of non-native populations of the woody Siberian elm, Ulmus pumila, germinated faster than those of native populations, we expected growth performance of seedlings to mirror this finding. Here, we conducted a common garden greenhouse experiment using different temperature and watering treatments to compare the biomass production of U. pumila seedlings derived from 7 native and 13 populations from two non-native ranges. Our results showed that under all treatments, non-native populations were characterized by higher biomass production and enhanced resource allocation to aboveground biomass compared to the native populations. The observed enhanced growth performance of non-native populations might be one of the contributing factors for the invasion success of U. pumila due to competitive advantages during the colonization of new sites.Fil: Hirsch, Heidi. Stellenbosch University, Centre for Invasion Biology, Department of Botany and Zoology; Sudáfrica. Martin Luther University Halle-Wittenberg, Institute of Biology/Geobotany and Botanical Garden ; AlemaniaFil: Hensen, Isabell. Martin Luther University Halle-Wittenberg, Institute of Biology/Geobotany and Botanical Garden ; Alemania. German Centre for Integrative Biodiversity Research (iDiv) Halle-Jena-Leipzig; AlemaniaFil: Wesche, Karsten. German Centre for Integrative Biodiversity Research (iDiv) Halle-Jena-Leipzig; Alemania. Senckenberg Museum of Natural History Goerlitz; AlemaniaFil: Renison, Daniel. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Centro Científico Tecnológico Conicet - Córdoba. Instituto de Investigaciones Biológicas y Tecnológicas. Universidad Nacional de Córdoba. Facultad de Ciencias Exactas, Físicas y Naturales. Instituto de Investigaciones Biológicas y Tecnológicas; ArgentinaFil: Wypior, Catherina. Martin Luther University Halle-Wittenberg, Institute of Biology/Geobotany and Botanical Garden ; AlemaniaFil: Hartmann, Matthias. Charles University in Prague, Herbarium PRC & Department of Botany; República ChecaFil: von Wehrden, Henrik. Leuphana University, Institute of Ecology/Faculty of Sustainability, Centre of Methods; Alemania. Research Institute of Wildlife Ecology; Austri

    Identification des facteurs de stress impliqués dans le déclin et la mortalité de l'érable à sucre après coupe de jardinage : étude de la croissance, de la vigueur et de l'état hydrique des arbres

    Get PDF
    Le modèle conceptuel de déclin des arbres de Manion (1991) stipule que des stress dits prédisposants, d'impact modéré et agissant à long terme (ex. pollution atmosphérique), diminuent la vigueur des arbres et les rendent plus vulnérables à des stress subséquents. Ces arbres ainsi affaiblis seraient par la suite davantage affectés par des stress incitants, ces derniers ayant un impact plus prononcé et soudain (ex. défoliations d'insectes). Ceux-ci les entraîneraient alors dans une spirale de déclin vers la mort. La progression dans ce processus de déclin pouvant elle-même être accélérée par des facteurs contribuants tels les pathogènes fongiques. La coupe de jardinage vise une amélioration de la qualité des peuplements par l'enlèvement progressif, sur plusieurs rotations, d'arbres de faible qualité et de faible vigueur, diminuant ainsi le taux de mortalité des peuplements résiduels. Récemment, l'observation d'un taux élevé de mortalité après coupe de jardinage dans la forêt publique québécoise a suscité inquiétudes et interrogations, nous incitant à entreprendre une étude afin d'identifier les causes potentielles et les processus précurseurs de la mortalité des arbres, afin de mieux comprendre ce phénomène. Nous avons étudié près de 400 érables à sucre (Acer saccharum Marsh.) vivants et morts dans des érablières à bouleau jaune au Témiscamingue, Québec. Les peuplements sous étude avaient subi une coupe de jardinage en 1993-94 et tout en étant régulièrement soumis à des épidémies de la livrée des forêts (Malacosoma disstria Hubner). Nous avons d'abord testé si le système de classification utilisé pour sélectionner les arbres pour la récolte pourrait être en cause dans les taux élevés de mortalité. Si le système en question ne permet pas de cibler adéquatement les arbres non vigoureux afin d'en prioriser la récolte, un mauvais choix d'arbres peut s'en suivre augmentant ainsi la proportion d'arbres non vigoureux dans le peuplement résiduel. Puisque de tels arbres sont plus susceptibles de mourir, le taux de mortalité augmenterait dans les peuplements résiduels. Nous avons comparé la probabilité de survie des arbres (évaluée à partir de leur croissance radiale récente), comme indicateur de leur vigueur réelle, entre les quatre classes de vigueur du système de classification. Nos résultats indiquent que ce système reflète assez bien la vigueur réelle des arbres et ne semble donc pas être la cause d'un mauvais choix d'arbres ni de la mortalité élevée observée après coupe. Par la suite, nous avons évalué l'impact des perturbations associées à la coupe sur les arbres résiduels en assumant que ces perturbations pourraient imposer des stress hydriques aux arbres résiduels par les mécanismes suivants: (1) la machinerie cause de la compaction du sol et des dommages aux racines fines des arbres à proximité des sentiers de débardage ce qui pourrait engendrer, respectivement, une diminution de la disponibilité en eau dans le sol et une diminution de la capacité des arbres à puiser l'eau du sol; (2) l'ouverture de la canopée augmente la disponibilité de lumière pour les arbres, ceux-ci répondant avec un accroissement du taux photosynthétique et de transpiration ce qui intensifierait la demande en eau. Nous avons comparé les croissances radiales, les probabilités de survie et le ratio d'isotope stable de carbone (¹³C/¹²C) entre des arbres appartenant à quatre classes de perturbation: (1) aucune perturbation, (2) perturbation de machinerie seulement, (3) augmentation de lumière seulement et (4) perturbation de machinerie et augmentation de lumière. Nos résultats montrent que les perturbations de la coupe n'ont pas eu d'impact négatif sur la croissance, la vigueur ou l'état hydrique des arbres résiduels. Au contraire, une augmentation de lumière engendrait une hausse de la croissance. La comparaison des croissances radiales entre une période de défoliation et la période suivant la coupe de jardinage démontrait que la croissance radiale était beaucoup plus faible lors de la défoliation que lors de la période suivant la coupe et ceci pour n'importe quelle combinaison de perturbations associées à la coupe. Nous avons de plus utilisé les croissances radiales d'érables à sucre morts pour caractériser la dynamique de leur déclin. Ces arbres ont été prédisposés par une première défoliation qui les a rendu plus vulnérable à une deuxième défoliation. Une perte de vigueur importante lors de la deuxième défoliation a déclenché leur déclin final, celui-ci ayant été accéléré lors de la période après coupe. Le déclin des érables sous étude a perduré pour environ 30 ans et s'est déroulé selon le modèle de Manion (1991) : la première défoliation étant le stress prédisposant, la deuxième le stress incitant et les perturbations associées à la coupe agissant comme stress contribuants. L'ensemble de nos résultats nous permet de conclure que les perturbations associées à la coupe de jardinage ne semblent pas expliquer le taux élevé de mortalité dans le contexte de notre étude. Toutefois, les conditions climatiques estivales favorables (températures douces, précipitations abondantes) qui ont prévalu dans les premières années après les coupes de jardinage de 1993-94 pourraient avoir empêché le développement d'un stress hydrique et ainsi avoir atténué l'impact sur les arbres résiduels des perturbations associées à la coupe. Notre étude apporte des contributions importantes à notre compréhension de la mortalité chez les arbres. Ainsi, nous avons identifié la nature du stress prédisposant dans le déclin d'érables à sucre dans des peuplements jardinés, un aspect souvent négligé dans les études de la mortalité des arbres. De plus, notre étude a permis de démontrer que le rôle d'un stress ne dépend pas de la nature du vecteur (ex. pollution atmosphérique, insectes défoliateurs) mais plutôt de l'impact que ce stress exerce sur la vigueur de l'arbre. Au niveau méthodologique, notre étude a contribué à améliorer les estimations de probabilités de mortalité (chapitre I) et à tester une méthode simple et efficiente d'estimation de conditions de croissance (disponibilité de lumière, chapitre 3) pour des études rétrospectives. Notre étude soulève aussi certaines questions. Par exemple, on peut se demander quel serait l'impact des perturbations associées à la coupe sur les arbres résiduels sous des conditions climatiques moins favorables que celles ayant prévalu dans notre étude (ex. étés chauds et secs dans les années suivant la coupe)? Ou sur des sites ayant des sols différents? Pourquoi les défoliations de la livrée n'ont pas eu le même impact sur tous les arbres, causant seulement un déclin temporaire chez certains arbres mais un déclin sévère menant à la mort chez d'autres individus? Est-ce que les arbres survivants ont pu mieux se défendre contre ou encore éviter complètement les défoliations? Ces questions devraient faire l'objet d'études supplémentaires afin d'approfondir notre compréhension de la mortalité des arbres. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acer saccharum Marsh., Mortalité, Stress, Vigueur, Probabilité de survie

    Negative or positive effects of plantation and intensive forestry\ud on biodiversity: A matter of scale and perspective

    Get PDF
    Terrestrial biodiversity is closely linked to forest ecosystems but anthropogenic reductions in forest cover and changes in forest structure and composition jeopardize their biodiversity. Several forest species are threatened because of reduced habitat quality and fragmentation or even habitat loss as a result of forest management activities. In response to this threat, integrated forest management (IFM) was developed in the early 1990s and has been applied over large spatial scales ever since. While IFM seeks to satisfy both human resource demands and ecosystem integrity, the whole forest matrix is affected and this may also have negative impacts on biodiversity. The concept of forest zoning (e.g., Triad) avoids these issues by physically separating land uses from each other. The zoning approach has been developed in the same period as IFM, but there are still very few examples of large-scale applications. This may be because its distinctiveness from IFM may not always seem clear and because forest zoning is not easily implemented. Here we explain these differences and show that IFM and the zoning approach are indeed different management paradigms. We advocate the use of high-yield plantations within the zoning paradigm as a means for biodiversity conservation and review the literature (with an emphasis on the northern hemisphere and on plantation forestry within a land-zoning approach) on impacts of forest management activities on biodiversity. Furthermore, we give advice on issues that require consideration when implementing forest zoning at both the stand and the landscape levels. We recommend several small changes in design and management of forest plantations as a means to significantly increase their biodiversity value. We conclude that while forest zoning seems an adequate strategy for the Canadian forestry sector, a shift in paradigm must carry over to policy-makers and legislation if this approach is to succeed

    Effects of above- and belowground partial harvest disturbance on growth and water status of residual sugar maple

    Get PDF
    Partial forest harvesting is known to modify both\ud above- and belowground resource availability and may result in direct and indirect stress to the residual trees as a result of machinery traffic and sudden changes in irradiance.We studied sugar maple (Acer saccharum Marsh.) trees in stands that had undergone a selection harvest 11 years before sampling to verify whether sudden increases in light availability and soil disturbance caused by machinery influence growth rates and lead towater stress.We selected trees that had experienced either no disturbance from partial harvest, soil disturbance only, sudden increases in light availability only or both disturbances.We analyzed\ud stem radial growth rates and stable carbon isotope composition (δ13C) of stem wood with an annual resolution from 10 years before partial harvest until 10 years after partial harvest. Disturbances from partial harvest did not negatively affect growth rates or tree water status. Although trees that experienced increased light availability had higher (less negative) δ13C after harvest (indicating increased water-use efficiency), they also had higher growth rates, suggesting that they\ud experienced no pronounced water stress. Trees subjected to soil disturbance showed no sign of water stress. These results may partly be associated with favorable growth conditions(abundant precipitation and mild temperature) in the years following harvest and could differ from results that would be observed under more severe climatic conditions
    corecore